Doucement, mais surement.

Publié le par Rébecca

J'ai compris quelque chose de la méditation, depuis que je suis guidée par un groupe de sophrologie. Pratiquer toute seule dès le début était trop difficile. Avec une "prof", on est obligés de rester là et de se détendre, on ne peut pas couper court au moindre gratouillis. Que c'est dur de se faire du bien !

 

Du coup, on prend vraiment 45 minutes pour plonger en soi, et doucement, découvrir ses sensations, et laisser filer ses pensées parasites. On prend aussi le temps de revenir dessus, et de verbaliser son vécu de méditation. C'est important, car les progrès sont rarement spectaculaires.

 

Et puis, un soir, on se rend compte qu'on a réussi à "plonger" pour de bon, pendant quelques minutes, toute seule. Et qu'on a touché quelque chose à l'intérieur.

 

Quelque chose a fait un léger "crac" dans l'esprit. Et le monde autour prend une teinte légèrement différente, les bruits sont moins agressifs, le stress des autres devient une entité presque inoffensive, alors qu'auparavant, on se laissait contaminer sans même s'en rendre compte.

 

En quelques mois, presque sans m'en rendre compte, juste en tâtonnant dans les techniques de méditation et la médecine orientale, et surtout, en pratiquant de plus en plus souvent, je suis passée de la boule de nerfs cyclotimique à une sérénité de plus en plus facile. Je suis très loin du moine zen (mais ce n'est pas mon objectif), juste moins obnubilée par les aspects négatifs de la vie et de mon vécu.

 

Je viens de finir l'e book (en téléchargement gratuit) de David Komsi, et ça me parle. J'adore cette idée de responsabilité individuelle, ça rejoint une conviction bien ancrée en moi, mais que je vivais jusqu'à présent comme une charge. La perspective offerte par la loi d'attraction est bien plus agréable !

Publié dans méditation

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